France, 1907 : Voler ou tromper quelqu’un en le flattant ou le faisant boire. Se dit aussi pour tout acte vigoureux accompli sans violence.
Doué d’une force herculéenne, il considère comme une lâcheté de l’employer sans nécessité absolue. Si un malfaiteur qu’il arrête veut lui résister, il l’étreint… en douceur, et l’enlève comme une plume sans la moindre violence. Dans une bagarre, sa présence suffit pour ramener la paix. Il sépare placidement, écarte d’un revers de mains les combattants, et ramasse dans le tas celui qu’il cherche.
(G. Macé, Un Joli monde)